L’incident s’est produit mercredi, lors de son deuxième jour de roulage sur la piste. Bien que le septuple champion du monde n’ait pas été blessé, Ferrari a choisi de ne pas commenter l’accident. Hamilton partage ces sessions de test avec Charles Leclerc, l’équipe cherchant à faciliter son intégration avant le Grand Prix d’Australie, qui marquera l’ouverture de la saison du 14 au 16 mars.
Ferrari considère cet accident comme une étape normale de l’adaptation de Hamilton, qui découvre une nouvelle monoplace après 12 ans passés chez Mercedes. En raison des réglementations strictes de la Formule 1, Hamilton est limité à des essais avec la Ferrari de 2023, le modèle le plus récent qu’il est autorisé à piloter.
Les restrictions imposent un maximum de 1 000 km (621 miles) d’essais avec d’anciennes voitures, rendant chaque session cruciale pour son acclimatation. Avant les tests de Barcelone, le Britannique avait déjà effectué 30 tours sur la piste de Fiorano, appartenant à Ferrari, le 22 janvier.
Ces essais visent à familiariser Hamilton avec les procédures de l’écurie, ses méthodes de travail et son nouvel ingénieur de course, Riccardo Adami. Bien que Ferrari ne communique pas de détails sur ces sessions, l’équipe prévoit d’offrir à Hamilton davantage de temps en piste avant le lancement de la voiture 2025 le 19 février à Fiorano, un jour après l’événement officiel de début de saison prévu à Londres.
Avant cette présentation, Ferrari poursuivra ses essais, notamment avec des tests de pneus Pirelli pour simuler les effets du futur règlement 2026. L’écurie effectuera deux journées supplémentaires d’essais à Barcelone les 4 et 5 février, avec une version modifiée de la voiture 2025. Pendant ce temps, McLaren mènera un programme similaire à Paul Ricard en France, alors que les équipes poursuivent leurs préparations pour les nouvelles réglementations de 2026.
ADD A COMMENT :