L'équipe nationale féminine de basketball du Nigeria, les D'Tigress, mérite des éloges pour leur exploit malgré leur élimination en quart de finale aux Jeux Olympiques de Paris, a déclaré un fan de basketball, Adeyemi Owoseni, à Lagos.
Owoseni a fait cette déclaration lors d'une interview après la défaite des D'Tigress 74-88 contre l'équipe féminine des États-Unis à Paris.
Il a également affirmé que les Nigérianes ont bien joué et méritaient des félicitations malgré leur défaite en quart de finale.
« Nous avons bien joué, mais nous avons rencontré une équipe plus forte qui a su faire valoir son expérience. Les filles doivent être fières d'elles pour avoir, au moins, atteint les quarts de finale.
« Nous avons mieux joué dans le quatrième quart-temps du match pour réduire l'écart. Nous devons être fiers des filles malgré la défaite », a déclaré Owoseni.
De même, un autre passionné de basketball, Mike Ajanaku, a déclaré que bien que les Nigérianes aient bien joué, elles n'étaient pas assez bonnes pour surpasser l'adversaire.
« Nous n'avons pas réussi à élever notre niveau de jeu en ce qui concerne les rebonds offensifs et défensifs, ce qui nous a coûté de nombreuses pertes de balle que nous aurions pu mieux exploiter.
« Je dois féliciter toute l'équipe malgré la défaite car elles se sont bien battues. Elles ont bien réduit l'écart et ont rendu le score plus respectable », a déclaré Ajanaku.
Les États-Unis se sont qualifiés pour les demi-finales grâce à leur victoire contre les D'Tigress, qui sont éliminées du tournoi malgré leurs efforts courageux.
Le score était de 17-26 dans le premier quart-temps, alors que l'équipe américaine a pris le contrôle complet du match, utilisant pleinement leur avantage de taille supérieur par rapport aux Nigérianes.
L'équipe américaine, huit fois médaillée d'or, a dominé tous les aspects du jeu dans les deuxième et troisième quart-temps, enregistrant 16-26 et 15-24 pour maintenir leur emprise solide, mais elles ont perdu le dernier quart-temps contre les D'Tigress 26-12, alors qu'il ne restait plus rien à jouer.
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